Interwiew d'Olivia N'Ganga
La danse est vraiment un art que j'aime depuis que je suis toute petite
Olivia n'Ganga est une réalisatrice de films sur la danse, je l'ai rencontrée l'occasion d'une projection de ses films au cinéma d'Angers
Soléanne : Quel était votre métier avant d'être réalisatrice de films sur la danse ?
Olivia n'Ganga : J'ai commencé par le journalisme, j'étais reporter. Je partais partout dans le monde en France et à l'étranger et après je me suis dirigée vers la réalisation.
Soléanne : Pourquoi avez-vous choisi de faire des films sur la danse ?
Olivia n'Ganga : Parce que la danse est vraiment un art que j'aime depuis que je suis toute petite et le cinéma aussi, en fait, mon cœur balance entre les deux et je me suis dis du coup pourquoi ne pas associer les deux dans mon métier.
Soléanne : Votre métier de réalisatrice vous prend-il beaucoup de temps ?
Olivia n'Ganga : Il me prend beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps, mais quand on aime on ne compte pas !
Soléanne RL 12 ans - Bourgueil - FRANCE
Bonjour Soléanne,
Bravo, ton interview est intéressante, tu as posé de bonnes questions !
Pour améliorer l’article, ce serait bien que tu écrives un petit paragraphe introductif dans lequel tu précises les 5 W : qui est Olivia N’Ganga ? Pour quelle occasion l’as-tu rencontrée ? Où et quand l’as-tu rencontrée ?
Tu n’as pas besoin d’écrire le début, de « Bonjour » à « quelques questions ». C’est bien que tu te sois présentée à Olivia N’Ganga mais cela n’est pas utile pour le lecteur. La fin de « Merci » à « c’est trop mignon » n’est pas utile non plus car cela n’apporte pas d’informations pour le lecteur. Lorsque tu écris une interview, tu n’as pas besoin de transcrire tout ce que tu as dit et tout ce qu’Olivia N’Ganga a dit, comme le début et la fin. Passes directement aux questions/réponses.
Ce serait bien que tu donnes un titre à ton interview. Le mieux est que tu prennes une petite citation de l’interview, qui donne envie au lecteur de lire l’article.
Tu n’as pas besoin de souligner le nom d’Olivia N’Ganga ni le tien.
Bon courage pour ces quelques modifications,
Pauline, en première année à l’EPJT