Une championne pour porter la candidature de Paris 2024
Après avoir brillamment représenté la France aux jeux olympiques (JO) de Rio, Marie Amélie Le Fur fait actuellement une pause dans sa carrière sportive. Cela ne signifie pas inactivité car l’actualité de cette championne reste chargée. En effet, comme le montre ses réponses aux questions qui suivent, elle continue de s’entrainer pour garder un certain niveau mais elle s’implique également dans des projets qui lui tiennent à cœur. La candidature de Paris pour les JO de 2024 en fait notamment partie : « ce sont des jeux humains, durables et partagés… »
Depuis notre dernière rencontre au congrès des pompiers de Tours quelle est votre actualité sur le plan sportif ?
Je suis actuellement toujours en pause sportive. L'année 2017 a été consacrée à la réalisation de projet associatif et institutionnel en lien avec le développement du sport et du handisport. Et pour le moment je continue sur cette voie.
Etes vous toujours employé sur le CNPE de Saint Laurent des eaux ou avez vous changé de travail ?
Je suis toujours salariée du CNPE Saint Laurent, détachée à 50% pour poursuivre mes engagements sportifs.
Afin de porter le dossier de candidature de Paris pour les jeux olympiques vous avez mis votre carrière en pause mais continuez vous à vous entraîner régulièrement ?
Oui exactement, je souhaite garder 4 à 6 séances par semaine pour m'entretenir et physiquement j'en ai besoin. Cette souplesse des entraînements me permet d'optimiser mon mi temps sur des projets sportifs, et notamment Paris 2024 qui est un projet présentant de belles opportunités pour le développement du handisport.
Pouvez vous nous expliquer plus précisément votre rôle au sein de la délégation chargé d’appuyer la candidature de Paris au près du CIO (comité international olympique) ?
J'étais co-présidente du comité des athlètes dans le comité de candidature. Nous avons à la fois travailler sur les dossiers techniques (conception du cahier des charges du projet, des structures, etc ...) et sur la promotion des jeux (CIO, monde sportif et grand public).
Etes vous satisfaite de la tournure prise par la candidature de Paris ?
Oui, ce sont des jeux humains, durables et partagés. Pour moi il est essentiel que les jeux "modernes" possèdent ces valeurs. Et toutes ces données ont été prises en compte lors de la création des dossiers. Nous voulons faire des jeux une fête de l'élite du sport, partagé avec le plus grand, pour servir l'éducation et notre jeunesse.
Pour vous, quelles sont les qualités qui font de Paris une ville olympique ?
Il y a la beauté de la ville de Paris en elle même : ses monuments. Mais également la façon dont est crée le projet qui permet d'avoir les sites très proches les uns des autres. Cette proximité géographique favorise l'esprit Jeux, le partage et les festivités. Et le plus gros point fort réside dans l'existence des structures : 95% sont des structures existantes ou temporaires.
Après l’attribution des JO, aurez vous un rôle dans la préparation de ces derniers ?
Je travaille actuellement dans un groupe de réflexion sur le sport de haute performance, mais je ne suis pas dans le COJO (comité d’organisation des jeux olympiques)
Aura t’on le plaisir de vous revoir courir dans des grandes compétitions ?
Je ne peux pas encore le dire, l'envie est présente, la faisabilité est une autre question !
Que pensez vous des résultats français au dernier mondiaux d’athlétisme ?
Les résultats sont plutôt positifs. Après il faut laisser à ces équipes le temps de se reposer, de travailler en profondeur, et pour cela il faut accepter que certains championnats soient en demi teinte.
Bonjour Flore,
Félicitations pour ton interview, je n'ai franchement pas grand chose à redire dessus. Tu as bien organisé tes questions, elles ont un déroulement logique. Tu as aussi un bon petit paragraphe de mise en contexte au début. Par contre, ce n'est pas la peine de remercier et de mettre un petit mot personnel à la fin. Tu le penses sûrement et c'est même peut-être ce que tu lui as dit, mais cela n'apporte rien à ton interview, donc cela ne sert à rien de le mettre. Enlève aussi les numéros à côté de tes questions. Là encore, cela ne sert à rien de numéroter tes questions.
Personnellement, je changerai aussi le titre. On le comprend mais tu peux faire beaucoup mieux. Dire "des nouvelles de..." donne le sentiment que tu n'as rien à dire sur la personne, mais que tu veux en parler quand même. Là tu peux trouver un titre avec Paris 2024, car c'est ce sur quoi porte ton interview.
Ce ne sont que des détails mais ils rendront ton interview (quasi) parfaite ;)
Bon courage,
Maxime, licence pro radio EPJT Ecole publique de journalisme de Tours
Article avant le commentaire de Maxime :
Des nouvelles de Marie Amélie Le Fur
Après avoir brillamment représenté la France aux jeux olympiques (JO) de Rio, Marie Amélie Le Fur fait actuellement une pause dans sa carrière sportive. Cela ne signifie pas inactivité car l’actualité de cette championne reste chargée. En effet, comme le montre ses réponses aux questions qui suivent, elle continue de s’entrainer pour garder un certain niveau mais elle s’implique également dans des projets qui lui tiennent à cœur. La candidature de Paris pour les JO de 2024 en fait notamment partie : « ce sont des jeux humains, durables et partagés… »
1. Depuis notre dernière rencontre au congrès des pompiers de Tours, quelle est votre actualité sur le plan sportif ?
Je suis actuellement toujours en pause sportive. L'année 2017 a été consacrée à la réalisation de projet associatif et institutionnel en lien avec le développement du sport et du handisport. Et pour le moment je continue sur cette voie.
2. Etes-vous toujours employée sur le CNPE de Saint Laurent des eaux ou avez vous changé de travail ?
Je suis toujours salariée du CNPE Saint Laurent, détachée à 50% pour poursuivre mes engagements sportifs.
3. Afin de porter le dossier de candidature de Paris pour les jeux olympiques vous avez mis votre carrière en pause mais continuez-vous à vous entraîner régulièrement ?
Oui exactement, je souhaite garder 4 à 6 séances par semaine pour m'entretenir et physiquement, j'en ai besoin. Cette souplesse des entraînements me permet d'optimiser mon mi-temps sur des projets sportifs et notamment Paris 2024 qui est un projet présentant de belles opportunités pour le développement du handisport.
4. Pouvez-vous nous expliquer plus précisément votre rôle au sein de la délégation chargée d’appuyer la candidature de Paris auprès du CIO (comité international olympique) ?
J'étais co-présidente du comité des athlètes dans le comité de candidature. Nous avons à la fois travaillé sur les dossiers techniques (conception du cahier des charges du projet, des structures, etc...) et sur la promotion des jeux (CIO, monde sportif et grand public).
5. Etes-vous satisfaite de la tournure prise par la candidature de Paris ?
Oui, ce sont des jeux humains, durables et partagés. Pour moi, il est essentiel que les jeux "modernes" possèdent ces valeurs et toutes ces données ont été prises en compte lors de la création des dossiers. Nous voulons faire des jeux une fête de l'élite du sport partagée avec le plus grand nombre pour servir l'éducation et notre jeunesse.
6. Pour vous, quelles sont les qualités qui font de Paris une ville olympique ?
Il y a la beauté de la ville de Paris en elle-même : ses monuments. Mais également la façon dont est créé le projet qui permet d'avoir les sites très proches les uns des autres. Cette proximité géographique favorise l'esprit Jeux, le partage et les festivités. Et le plus gros point fort réside dans l'existence des structures : 95% sont des structures existantes ou temporaires.
7. Après l’attribution des JO, aurez-vous un rôle dans la préparation de ces derniers ?
Je travaille actuellement dans un groupe de réflexion sur le sport de haute performance, mais je ne suis pas dans le COJO (comité d’organisation des jeux olympiques)
8. Aura-t-on le plaisir de vous revoir courir dans des grandes compétitions ?
Je ne peux pas encore le dire, l'envie est présente, la faisabilité est une autre question !
9. Que pensez vous des résultats français aux derniers mondiaux d’athlétisme ?
Les résultats sont plutôt positifs. Après, il faut laisser à ces équipes le temps de se reposer, de travailler en profondeur et, pour cela, il faut accepter que certains championnats soient en demi teinte.
Merci pour l’ensemble de vos réponses. Nous vous souhaitons beaucoup de réussites sur le plan personnel, associatif et professionnel. A bientôt sur les pistes d’athlétisme.
Flore M. 11ans Bourgueil